Bien s’alimenter en hiver
En hiver, nos besoins augmentent, il faut donc adapter l’alimentation selon votre activité sportive.
L’alimentation doit avoir suffisamment d’énergie. Elle doit également combiner des acides gras de haute qualité avec des glucides complexes à haute densité en micronutriments.
Vous devez apporter des aliments riches en acides gras oméga-3 (comme les sardines ou le saumon…), mais aussi des aliments riches en énergie, protéines, lipides, fer et magnésium contenu dans les fruits protéo oléagineux (noix, noisettes…), ou bien encore des aliments permettant de favoriser l’apport des oméga 3, 6 et 9 contenus dans les huiles végétales.
L’ajout de beurre ou de graisses animales complètent les vitamines A et D, aux propriétés antioxydantes et métaboliques reconnues.
De plus, les féculents sont aussi nécessaires car ils sont très copieux, riches en protéines et glucides à faible indice glycémique. Ils sont notamment contenus dans les lentilles, haricots blancs, pâtes, riz, pommes de terre…
Vous devez également consommer des fruits et légumes de saison pour leurs fibres, antioxydants, éléments alcalins et vitamines B. En terme d’aliments riches en antioxydants, nous retrouvons les fruits de mer pour résister au mieux au passage hivernal.
D’un point de vue quantité
Les aliments d’hiver sont généralement positivement liés à la consommation d’aliments énergivores. Les températures froides augmentent la demande d’énergie, mais limitent parfois les heures de cours.
Durant cette période, le but de tout sportif est de minimiser leur gain de graisse. C’est souvent une période de repos ou un moment où la régénération de l’organisme est altérée.
Les infections bronchiques, les maux de gorge, la fatigue, les troubles de l’humeur, l’insomnie, la suralimentation peuvent également affecter la prise ou la perte de poids.
Il est important de prendre soin de vos intestins
Pour améliorer la fermentation et la digestion des aliments, il est important d’apporter des probiotiques. Pour améliorer le traitement des maladies intestinales ou la tolérance au lactose, cela peut être très utile.
Les prébiotiques, tels que les betteraves, fraises, ail, oignons ou encore le seigle, servent de support en stimulant la croissance et le développement des probiotiques.
Les herbes et épices sont aussi nécessaires. En plus de leurs propriétés médicinales protectrices, les herbes et les épices augmentent la variété de vos repas en améliorant la saveur et l’odeur de vos plats.
Bon appétit et n’abusez pas trop des raclettes !